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Vous avez dit SOFICA ?

SOFICA : UN INVESTISSEMENT DE CONVICTION.

Placement risqué avec une réduction d’impôt de 48% dans la limite du plafonnement des niches fiscales. Produit recherché ayant le plus fort taux d’avantage fiscal et qui doit s’inscrire dans une politique de diversification .

Le cinéma français est une exception avec un modèle original qui promeut notamment le cinéma d’auteur et qui se veut de qualité. Investir en sofica est soutenir ce modèle.

Le monde l’audio-visuel est en mutation avec une très forte demande de support et une évolution des modes de « consommation » avec le développement des plates formes et des salles sophistiquées.

En échange d’une forte réduction d’impôt pouvant aller jusque 48% de l’investissement, le risque en capital est réel et l’investissement peut aller jusque 10 ans.  

Le nombre de sofica agréées par le CNC est limité.

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Point marchés (14/09/2022)

Nous conservons l’approche prudente des dernières semaines en recommandant de rester absent des obligations et nettement sous-exposé aux actions.

Attendre …

Evénement attendu mais historique, la BCE a remonté son taux directeur de 0.75 points de base à 0.75%, ramenant le monétaire EUR territoire positif, et elle annonce d’autres hausses lors des prochaines réunions : nous envisageons ainsi des taux directeurs entre 1.75% – 2.25% en fin d’année 2022. Dans le même temps la Fed, par la voix de ses dirigeants, confirme implicitement la poursuite de relèvement de taux d’ici la fin 2022.

Nous ne voyons pas de soutien fondamental à la reprise des marchés des derniers jours, si ce n’est la résilience de l’économie américaine mais celle-ci porte probablement en elle le germe de difficultés à venir puisque sans baisse marquée de l’activité et de l’emploi américains l’inflation ne reculera que trop lentement ce qui obligera la Fed à durcir le ton et ses décisions. Enfin et contrairement à ce que l’on entend souvent, le consensus ne nous paraît pas si pessimiste ni le marché survendu : le courant vendeur est à notre sens potentiellement puissant si les nos craintes se matérialisent sur des taux d’intérêt encore loin de leur sommet. Et les dernières nouvelles en provenance d’Ukraine sont encore trop récentes et trop partielles pour modifier nos analyses.

Point marchés (20/07/2022)

L’inflation poursuit sa hausse aux Etats-Unis, au-delà de 9% se propageant peu à peu à tous les secteurs de l’économie du fait des effets de second tour (transmission des hausses de prix cycliques aux activités moins cycliques). Pourtant les marchés obligataires n’ont pas mal réagit et terminent même la semaine sur des rendements à 10 ans plus bas de 10 à 15 bp.

Il en résulte une contradiction, selon nous, entre un environnement macro-financier assez lisible en terme d’inflation, élevée pour longtemps et de croissance ralentie, mais où les scenarios de taux courts et longs qui peuvent en découler sont en revanche de moins en moins consensuels. Ainsi, face à la logique : « davantage d’inflation = davantage de resserrements monétaires », de nombreux opérateurs pensent que, au contraire, ce surcroît d’inflation va obliger les banques centrales à accélérer le mouvement mais sans l’accentuer, signifiant que les marchés sortiront plus vite de ce cycle monétaire et gagneront donc en lisibilité à partir de la fin de l’année; devant des interprétations aussi divergentes d’une même réalité, la visibilité « marchés » nous semble particulièrement faible à l’horizon  de la fin de l’été.

On peut y ajouter les incertitudes macro-politiques en Europe (stocks de gaz pour l’hiver, approvisionnements énergétiques de l’Allemagne et mise en minorité de M. Draghi en Italie) pour rester prudent sur les actifs risqués au cours de l’été.

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